Top articles
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Chez les Yanomanis avant laa Covid-19
Chez les Yanomanis avant la Covid-19. Par Nathalie Maranelli Quelque part en Amazonie : 11 Avril 2020 Aké, un indien Yanomani, vit dans la forêt tropicale dans les montagnes entre le nord du Brésil et le sud du Venezuela. Le voilà sur le point de présenter...
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Le vieux Brésilien
Le vieux Brésilien Par Nathalie Maranelli PARIS – AMAZONIE. Épisode 7 Valente a tout perdu. Sa femme et sa dignité. Il se lève à cinq heures, tous les matins. Il vit dans une petite pièce au-dessus de son ancien restaurant, tenu aujourd’hui par sa belle-fille....
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L'obs février 2020. Mariana, la bénisseuse des ressuscités dans les favelas. Par Nathalie Maranelli
Mariana, la bénisseuse des ressuscités dans les favelas Le 6 janvier 2020. Les pales de l’hélicoptère de la police, qui s’approchent avec détermination de la favela, giflent le vent à 300 kilomètres heures. Les bruits du quotidien disparaissent. L’alouette...
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AMAZONIE MON AMOUR
L'OBS DE MIEL ET DE SAKE, PAR NATHALIE MARANELLI Toute notion de progrès s'effondre dans la forêt amazonienne où les multinationales jouissent de l'impensable: droit de saccage et de pillage. C'et l'obsession d'Anahi, petite fille de chaman née à Paris,...
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PRÉFACE DE MIEL ET DE SAKÉ par Jean-Paul Delfino
Nathalie Maranelli m'a fait l'amitié de me demander de lui écrire une préface. Comment refuser ? Et surtout, pourquoi refuser ? C'est un exercice que je ne goûte pas, certes. Cela ne sert, le plus souvent à rien. Mais Nathalie - que je nomme depuis maintenant...
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NOIR JAPON & ROUGE BRÉSIL par Nathalie Maranelli
Hier, j’ai fait la connaissance du Japon. Dès que je suis rentrée dans la salle, je l’ai aperçu sur ma droite, d’abord de profil, son chapeau noir si raffiné relevait d’autant plus la blancheur de sa peau, le mont Fuji était bien là, à quelques mètres...
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CUBA "Les rouleuses de cigares"
Cette chaleur caniculaire me pénètre et réveille mes sens. Une énergie nouvelle m’envahit. Je souris et pose mon regard sur ce qui m’entoure. Deux jeunes chats roux sont perchés sur un muret. Une vieille femme avec un foulard bleu saphir sur la tête me...
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BERNARD WEBER "Remuer mes hanches sur les conseils de Bernard" par Nathalie Maranelli
Ces dernières années, j’ai fait des tas de rencontres sur papier. Tantôt des femmes, tantôt des hommes. Je procède par attirance, d’abord le nom : c’est le nom qui à mes yeux a de l’importance. J’aime savoir qui je lis. Je n’apprécie pas les imposteurs....
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LUIS SEPÚLVEDA par Nathalie Maranelli
En rentrant rue Trivalle ce jour-là, je découvre une rue mouvementée, des touristes assis aux terrasses des cafés, des va- et -vient de familles de diverses origines, des langues qui se délient dans des idiomes différents. Je me fraye un passage pour...
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LE BOHÉMIEN par Nathalie Maranelli
Carcassonne J’ai troqué la tour-Eiffel contre des remparts, le métro contre de la marche journalière, la Seine contre l’Aude et le Canal du Midi. Le ciel griso…nnant contre un ciel bleu et dégagé mais quelquefois venteux. Je n’ai échangé ni mes amis ni...
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L'INSTANT Christine Angot par Nathalie Maranelli
La poète et moi passons notre temps à parler de nos projets d’écritures, de livres, d’émissions littéraires et du dernier livre que nous avons lu. Nous échangeons des passages de lecture de nos romans par téléphone plusieurs fois par semaine. C’est important...
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LES TRIBULATIONS D'UN ÉCRIVAIN EN DEVENIR par Nathalie Maranelli
À Ala in Mabanckou. La tête qui tourne. Est-ce bien Dany Laferrière qui vient vers moi et qui a l’air de vouloir m’adresser la parole : bonjour, vous allez bien ? -Oui, merci, et vous ? Il acquiesce rapidement de la tête et me donne une chaleureuse tape...
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Le cigare est le complément indispensable de toute vie oisive et élégante. George Sand
Che Mambo Che ! Cela faisait plus de quarante-huit heures que le « pam-pam-pam/pam-pam » de la Clave donnait son rythme à la salsa, faisant vibrer les murs. Dix jours qu’elles vivaient ensemble, dix jours que Milena la suppliait de baisser le son de la...
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L'Obs "Si vous êtes en paix, vous pouvez rentrer », Jorge Amado l’écrivain brésilien.
PAR Nathalie Maranelli Salvador de Bahia – 15 février 2020 C’est en lisant le message du panonceau au numéro 33 de la rue Alagoinhas, que je ressens une paix intérieure. Je m’apprête à rentrer dans « A casa do Rio Vermelho » (la maison du fleuve rouge),...